La légende de barney thomson
direction: Robert Carlisle
distribuer: Robert Carlisle, Ray Winston, Emma Thompson, James Cosmo
Titre en VO : La légende de Barney Thomson
an: 2015 date de sortie: 17/06/2016 période: 96 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Richard CowanColin McLaren la photographie: Fabien Wagner
résumé: Barney Thomson est le barbier maladroit et timide d’un salon de coiffure louche à Glasgow. Il mène une vie médiocre et répétitive, célibataire déterminé qui se voit délaissé au travail et à la maison, où il doit composer avec une mère qui le domine complètement. Juste le jour où son patron l’a informé qu’il allait être viré pour ciseaux incompétents et mauvais sentiments envers les clients, ses habitudes grises ont pris une tournure inattendue. C’est alors qu’un meurtre involontaire a fait de lui le principal suspect d’une série de crimes horribles, l’œuvre d’un psychopathe. Le harcèlement par des flics incompétents le forcera à mentir et à improviser à la volée pour éviter que tout ne s’effondre à tout moment.
critiquer
Le meilleur de tous : Stratosphere Emma Thompson, qui se démarque par tous ses looks.
Le moins : L’écriture audiovisuelle est légèrement décalée.
Les débuts dans les coulisses de l’acteur Robert Carlyle ne sont pas éblouissants, mais contiennent suffisamment de plaisir et parviennent à surmonter les défis pour recueillir des critiques incontestablement positives.La comédie noire puise à la fois dans la glorieuse tradition de l’humour funéraire britannique (un vestige clair des films obsédants de la marque Ealing doit être mentionné) ainsi que dans certaines références modernes imperceptibles (le slapstick du crime des frères Coen, la brutalité drôle, le drame et le film, Martin MacDonald…), « The Legend of Barney Thomson » propose une Des cocktails bien agités de costumes pathétiques, de sang bien dosé, de bandes dessinées efficaces, de rythmes de sitcom et de quelques manigances de thriller postmoderne (Parfois, il y a aussi des flashs de Tarantino, Guy Ritchie ou Edward Wright, oui). Cependant, comme si le plaisir garanti par son scénario savamment sournois et son travail de réalisateur très correct ne suffisait pas, le long métrage a fini par être, Un véritable festival aux commandes de trois titans d’acteurs comme Ray Winston, Carly elle-même, et au niveau supérieur, une Emma Thompson hyper personnelle qui incarne le meilleur de sa carrière (c’est-à-dire) l’un des personnages.
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