j’aime paul
direction: Fernando Léon de Aranoa
distribuer: Javier Bardem, Penelope Cruz, Peter Sarsgaard, Julius Restrepo, David O’Halvo, David Valencia
Titre en VO : j’aime paul
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2017 date de sortie: 09-03-2018 période: 123 le sexe: Biopics, Drames Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Fernando Léon de Aranoa la photographie: Alex Catalan
résumé: Le biopic raconte l’histoire du plus grand trafiquant de drogue de Colombie et chef du cartel de Medellin, Pablo Escobar (Javier Bardem). Le film est basé sur le livre de Virginia Vallejo « Love Pablo, Hate Escobar », sur leur relation dans les années 1980.
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Idéal pour: Ses scènes minutieusement violentes
Le pire : « déjà vu » et « déjà entendu » constants.
Après des pamphlets sociaux aussi rassis et indigestes que Princesas (2005) et Amador (2010), León de Aranoa a découvert qu’il avait des biceps narratifs américains dans A Perfect Day (2015), Oui, il a la bonté de la mer, mais rien depuis un autre Jeudi.maintenant dans la même sphère ‘Loving Pablo’, avec une belle entrée, une finition techno-artistique impeccable et des scènes de violence crue, encore une fois américaine, s’installe d’une manière faussement sèche. Outre ces succès, le film est frustrant pour au moins deux raisons : 1) sa présentation (rapidité, son « discorde », montage agile, métier de muraliste historique…) est redevable, et il y a plusieurs milliards ‘One of Ours’ (Martin Scorsese, 1990), œuvre majeure du cinéma américain moderne, a pourtant fait grand bruit en raison de l’usage et de l’abus de son mode narratif dans les films de gangsters ou les grandes corporations prédatrices, 2) Le rôle d’Escobar, après le biopic de 2014 avec Benicio del Toro, après la franchise « Narcos », après son rôle dans « Barry Seal : Trafiquants » (Doug Liman, 2017), après la riche littérature, qui n’est plus en soi, il est plus brûlé que le visage de Freddy Kruger, c’est dans « Monday in the Sun » (2002 2009) entre les mains de l’auteur n’apporte absolument rien de nouveau, peu importe le soutien qu’il a reçu, pour être considéré comme un roman, dans le livre de qui était son amant et présentateur de télévision. Bardem et Cruz sont puissants devant la caméra, chacun avec quelques bonnes scènes, mais à d’autres moments, leurs performances les surpassent et ils ajoutent à l’échec.
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