Avellaneda Lune
direction: Jean-Joseph Campanella
distribuer: Ricardo Darling, Eduardo Blanco, Mercedes Moran, Valeria Bertuccielli, José Luis Lopez Vazquez
Titre en VO : Avellaneda Lune
Pays de citoyenneté: Argentine, Espagne an: Année 2003 date de sortie: 05-11-2004 période: 145 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Juan José Campanella, Fernando Castor, José Maria Domenech la photographie: Daniel Shulman musique: ange iraramendi
résumé: Luna de Avellaneda, petit club de football communautaire en crise économique, menace de disparaître sous une pioche pour faire place à un casino. Cela va à l’encontre des idéaux sociaux établis en 1940 en tant que club social, sportif et culturel. Mais il y a encore des gens à proximité qui sont prêts à se battre pour la lune, comme Roman (Ricardo Darín), Graciela (Mercedes Morán) ou Amadeo (Eduardo Blanco).Date de sortie : 5 novembre 2004
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En 2001, Juan José Campanella, qui avait enfin trouvé le succès dans son pays d’origine après des années de vie et de travail aux États-Unis, a choqué les gens à l’étranger avec le fils de sa fiancée El, un émouvant Deep family events, l’environnement de crise dans lequel l’argentin classe moyenne était à l’époque pouvait être facilement deviné. Pour la classe populaire, Luna de Avellaneda est ce que le Fils de la Mariée est pour la classe moyenne pauvre qui paie cher l’effondrement invincible de son univers. Désormais, les confins du roman ne sont plus tellement centrés sur une famille, mais plutôt sur un établissement de divertissement, une institution nommée d’après le film, et Avellaneda, une communauté autrefois associée à la richesse d’exportation agricole du pays. Bien que les ingrédients soient les mêmes : une excellente construction du personnage, un œil précis pour la description sociale, une honnêteté qui ne présente pas de solutions impossibles au public. Revoilà Ricardo Darín, qui s’entend très bien avec des personnages entre perdants et espoirs, désarmés par la vie mais peu enclins à utiliser leurs faiblesses pour inciter. Pour lui et son autre distribution inquiétante, le film doit son honnêteté laconique, sa capacité de diagnostic, sa capacité de désarmement et sa sentimentalité émouvante unique. Pour les téléspectateurs intéressés par la sociologie argentine et les amoureux de Darling. Le meilleur : les acteurs. Pire encore : on veut savoir ce qu’il adviendra de certains personnages.
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