viens avec moi
direction: Denis Dugan
distribuer: Adam SandlerJennifer AnistonNicole Kidman
Titre en VO : allons y
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2011 date de sortie: 25-02-2011 période: 116 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alan Loeb, Timothy Dowling la photographie: Théo van der Sand musique: Rupert Gregson-Williams
résumé: Un chirurgien plasticien (Adam Sandler) a une liaison avec une enseignante beaucoup plus jeune (Brooklyn Decker), convainquant sa fidèle assistante (Jennifer Aniston) de faire semblant d’être sa future ex Couvrez un mensonge stupide. Mais un mensonge en amène un autre, et même les enfants de l’assistant finissent par être entraînés dans le complot. En fin de compte, ils sont tous les deux allés à Hawaï pour un week-end qui allait complètement changer leur vie.
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Le meilleur de tous : Destroyer Kids de Jennifer Aniston.
Le pire de tout: le sentiment de complaisance de Sandler à certains moments.
Jennifer Aniston, détestée et (rarement) aimée, devrait toujours accompagner le comédien américain le plus meurtrier. Si son échange face à face avec Ben Stiller dans « Then She Came » était une réconciliation entre la reine de la moue et la qualité, des vacances à Hawaï avec Adam Sandler (et son groupe habituel de salopes) ressemblaient à son diplôme And Confessions of Action, Aniston fait revivre le rôle de la folle Ingrid Bergman défendant l’oscarisée Goldie Hawn dans The Cactus Blossom, un vaudeville théâtral gaulois recyclé qui débute par un spectacle sur scène de Neil Simonez à Broadway, suivi d’un film moins daté, négligeable, un « 10, Perfect Woman » littérature d’avant-garde. Et Aniston est excellente, notamment parce qu’elle a été enchantée par l’esprit incorrigible de Sandler, Dugan et d’autres. Avec un manque apparent de respect pour l’original (une constante dans l’œuvre de Happy Madison : même Frank Capra n’a pas été épargné), « Follow Me » est un luau kid qui reformule « 50 First Dates » et la découverte (et les erreurs) de « Big « Eux, c’est quand même un Kafir Peter Panism, capable de sombrer dans une comédie romantique à base de farce (comme symbole de style), de machisme candide et de strip-féminisme. Si Walter Matthau était dentiste dans le film Gene Saks de 1969, alors Adam Sandler était chirurgien plasticien, et ce n’était pas un hasard : pas seulement parce que ses mauvais raisins étaient étirés, liposuccionnés, botoxés Le prix (la présence de Nicole Kidman était mémorable) et chatis remis à neuf, mais parce qu’il a fait un lifting intéressant à la rom-com.
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