iris
direction: Richard Eyre
distribuer: Kate Winslet, Judi Dench, Jim Broadbent, Penelope Wilton
Titre en VO : iris
Pays de citoyenneté: ROYAUME-UNI. an: 2001 date de sortie: 05-10-2002 période: 90 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Richard El-Charles Wood la photographie: Roger Platt musique: James Horner
résumé: L’auteur Iris Murdoch (Judi Dench) prend la parole lors d’un dîner de charité à Oxford, accompagnée de son mari John Bailey (Jim Broadbent). Une conversation qui se termine par une chanson irlandaise traditionnelle. John écoutait attentivement, ses pensées le menant vers le passé. La jeune Iris (Kate Winslet) partage une table avec ses amis, dont l’un lui présente le jeune John (Hugh Bonneville)…
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Richard Eyre, principalement un acteur de théâtre dont nous ne connaissons pas les quatre films précédents, ne semble pas se résoudre à s’installer dans sa vie bien remplie, via le mari de l’écrivain Iris Murdoch, John Bailey’s Gaze Filter: Dans les images d’Iris, le stylistique la figure ne pique jamais l’oreille. Discrètement, Ayre se débarrasse aussi de la netteté calligraphique du cinéma britannique, lorsqu’il devient un regard délicat sur le travail et l’émerveillement des grands artistes ; heureusement, ce n’est pas un joli autocollant ou une carte postale béate, bien que certains cyclistes People, sur un violon mélodieux, pointent parfois vers des biopics ennuyeux avec des collations et des confitures. En tant que bon gars du théâtre, Al sait que l’importance d’une pièce sur des personnes talentueuses dépend à 100% de la force des acteurs. Ici, nous avons quatre cartes d’as avec un sceau de qualité. Le peu connu Hugh Bonneville, un jeune Bailey aux allures de Pere Gimferrer, nous offre un beau sujet avec sa candeur et son stoïcisme. En tant que poney en fuite, rien de tel que la silhouette (et les nus) de Kate Winslet, aussi sensuelle que dans une sainte fumée psycho-électronique, prête à cuisiner. En grandissant, les personnages ont été marqués par deux indéniables génies artistiques britanniques, le justement oscarisé Jim Broadbent et la gigantesque (aujourd’hui disparue : yeux, tête, corps qui n’arrêtait pas d’aller dans le vide) Judi Dench, et le premier est superbe, dans des scènes charnières où il veut nier (ou se nier) la maladie qu’il a vue chez sa femme, la caresser, la protéger, user de toutes sortes de De tels gestes enregistrent une vie d’amour fou. >> Pour les biopiqueros incurables. Le Meilleur : Quatre personnages principaux, avec une mention spéciale pour Broadbent, qui s’est fait arracher par l’amour. Le pire de tout: parfois, il est proche des films traditionnellement déséquilibrés mentalement.
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