Soldat de Salamine
direction: David Truba
distribuer: Ariadna Gil, Ramón Fontserè, María Botto, Diego Luna, Joan Dalmau, Luis Cuenca
Titre en VO : Soldat de Salamine
Pays de citoyenneté: Espagne an: Année 2003 date de sortie: 21-03-2003 période: 112 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: David Truba la photographie: Javier Aguirrezarobe
résumé: Un journaliste pris dans une crise personnelle décide d’enquêter sur un cas bizarre dans notre guerre civile : un milicien sauve la vie de l’écrivain phalangiste Rafael Sanchez Mazas dans la réserve Correl de Gérone. L’écrivain parvient à s’échapper du peloton d’exécution, mais est repéré par un jeune homme qui décide de ne pas le tuer.
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Il y a une leçon impressionnante dans le troisième film du talentueux David Trueba, « Soldados de Salamina » : il ne s’agit pas seulement de réaliser, d’écrire des adaptations des romans de Javier Serkas, voire d’intervenir au montage, mais d’aboutir à une riche matière fictionnelle imaginée par son propre auteur. et le fait avec des trahisons évidentes, comme changer le sexe du protagoniste ; aucun personnage clé Roberto Bolaño n’est joué par Diego Luna dans un Mexicain avec un avantage significatif Remplacer ; changer la sexualité d’une autre personne, traverser la doublure des frontières sacrées qui dessinent la fiction des films d’enquêtes documentaires… l’impuissance de son protagoniste s’incarne plus vraisemblablement en une femme (excellente Ariadna Gil : Facile, en deux ou trois coups, une clé qui tombe, des livres qui tombent par terre, une bouffée de fumée qui dit tout sur son personnage), il avait le béguin pour Rafael Sanchez Massa L’obsession de Rafael Sánchez Mazas (Fontserè tout aussi brillant, quel caméléon); sa relation avec Conchi est à la fois chaleureuse et intense (comme Botto le fait facilement, quel grande actrice cette fille est!). Mais il n’y a pas que « Soldats de Salamina » qui est un joyeux exercice d’adaptation. C’est parce qu’il restaure la même leçon de morale qui se cache dans le roman : que dans des situations dangereuses, la civilisation n’est pas sauvée par un peloton de soldats, mais par un groupe de citadins anonymes qui réclament le plus de cannibalisme, une guerre civile, et ils savent comment montrer un héroïsme inattendu. D’où la supériorité morale de ceux qui peuvent sauver ceux qui déchaînent les feux criminels des soulèvements factionnels ; et donc, enfin, la chanson merveilleusement importante qui apparaît derrière les paroles apparemment sans espoir de Miralles (Joan Dalmau : Deux séquences suffisent à transformer l’homme respectable en votre poche). Et, comme si cela ne suffisait pas, l’hypothèse que Trueba met en œuvre pour reconstruire la guerre civile est probablement l’hypothèse la plus plausible que le chroniqueur ait jamais vue dans un film espagnol. >> Pour tout spectateur qui se souvient. Le meilleur : La sagesse de l’adaptation. Le pire : le personnage de Conchi : Malgré María Botto, elle en sait très peu.
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