je suis numéro quatre
direction: DJ Caruso
distribuer: Alex Pettyfer, Timothy Olyphant, Teresa Palmer, Kevin Durand, Callan McAuliffe, Diana Agron
Titre en VO : je suis numéro quatre
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2011 date de sortie: 08-04-2011 période: 110 le sexe: fantasme, horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alfred Goff, Miles Miller la photographie: Guillaume Navarro musique: Trevor Rabin
résumé: Un thriller plein de suspense sur un jeune homme extraordinaire nommé John Smith (Alex Pettyfer), un fugitif en fuite d’un ennemi impitoyable qui a été envoyé pour le détruire. Forcé de changer d’identité et de quitter la ville avec son tuteur Henry (Timothy Olyphant), John est toujours un petit nouveau sans lien avec son passé. En fin de compte, John a réussi à faire de la ville de l’Ohio sa maison. Là, il vivra des événements qui changeront sa vie à jamais. Il rencontrera son premier amour (Dianna Agron), découvrira ses nouveaux pouvoirs et se connectera avec ceux qui partagent son incroyable destin.
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Le meilleur : Il rapproche la science-fiction d’une nouvelle génération.
Le pire : il dessine des personnages paresseusement.
Basé sur le best-seller jeunesse du même nom, I Am Number 4 est né avec un désir clair de jouer dans la même ligue que Twilight (2008) et sa suite. Le plan en charge est le même : un mélange de fantaisie, de romance et de timides explosions d’horreur dans une proposition destinée à un public adolescent, dans ce cas, dans le but de se transformer en un phénomène de fan, compte tenu de la réputation de la saga des vampires. Eh bien, le but ne s’est pas déroulé comme prévu, je suis n ° 4 et il n’a pas eu l’énorme succès que j’attendais, pour des raisons évidentes.
Tourné professionnellement mais un peu paresseusement par DJ Caruso (Disturbia), le film n’explique pas le succès de la franchise Twilight : la généralisation des expériences et des émotions des personnages, malgré leur caractère fantastique. Le public adolescent peut s’identifier aux appréhensions du protagoniste légendaire, fidèlement dépeint et exposé à des situations réelles : des sentiments d’incompréhension ou les délires et la douleur du premier amour. En revanche, dans I Am No. 4, la recherche de similitudes entre le drame des personnages (l’axe de l’adolescent extraterrestre) et le drame ordinaire de l’enfant est plus grossière et moins fructueuse. Cela n’aide pas que l’élément fantastique manque de caractère, de spectacle et d’énergie.
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