sept épées
direction: Tsui Hark
distribuer: Donnie Yen, Leon, Charlie Yang, Sun Honglei, Lu Yi, Kim Soyeon
Titre en VO : Qian Jian
Pays de citoyenneté: Corée, Hong Kong, Chine an: 2005 date de sortie: 16 décembre 2005 période: 150 le sexe: action Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Tsui Hark, Jun Tiannan, Zhang Zhicheng la photographie: Chinois fort, Vénus forte musique: Kenji Kawaï
résumé: La Chine au début du XVIIe siècle. La dynastie Qing a ordonné l’interdiction d’apprendre et de pratiquer les arts martiaux dans le but d’imposer l’ordre. Huo Feng (Sun Honglei), un ancien officier cupide, s’efforce de faire appliquer la nouvelle loi. Déterminé à mettre fin à ses atrocités, Fu Qingzhu (Liu Jialiang) demande l’aide du légendaire épéiste Master Light and Shadow (Ma Jingwu), qui dirige un groupe de mercenaires.Date de sortie : 16 décembre 2005
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Antonio Trasolas: 4 Cher lecteur, attention : 9 personnes sur 10 pensent que ce film de Maître Tsui Hark est long, visuellement moche, narratif confus et émotionnellement inefficace. Je suis l’un des rares à ne pas le penser. Dès le début, il m’a semblé que j’assistais au résultat de sérieux ajustements éditoriaux qui auraient dû, en principe, être prolongés d’un tiers. Malheureusement, lorsqu’il s’agit de l’amputation des versions occidentales de certains films épiques d’origine asiatique (presque tous signés par Huck lui-même, soit dit en passant). Censé être démembré et ne voyant même pas les près de quatre heures de DVD promis, Seven Swords ne m’a pas semblé long mais plutôt court, et le regarder m’a tout de suite fait en apprendre plus sur les différents personnages ainsi que sur l’envie de participer à plus moments est à peine perceptible dans son format limité actuel. Et qu’offrent les longs métrages que nous trouvons maintenant? Eh bien, 1) la chance de retirer de notre palais le sirop restant des cartes postales d’arts martiaux de Zhang Yimou, 2) trois scènes de bataille percutantes planifiées de manière vraiment audacieuse au lieu de suivre la recette du Tigre et du Dragon, et 3) un aperçu Un possible chemin pour les films d’arts martiaux pour se débarrasser du non-sens et exporter le mysticisme, et restaurer une partie du caractère aride du genre il y a quelques années.Fausto Fernández: 2Pacheco, un ninja de Barcelone, un personnage de Rectos torcidos, un roman d’Antonio Iturbe, dans la sagesse de ceux d’entre nous qui ont des doubles spectacles et des théâtres de quartier dans notre code génétique pour confirmer que les bons films d’arts martiaux sont mauvais, pas Queer Tigers and Dragons, sautant le matin et tombant au sol en mangeant des collations. réel. La découverte de Yuppies de l’Est (qu’il pense avoir trouvé dans les suppléments de mode) et le multiculturalisme ont tous deux réussi à diluer l’essence de Swordsman’s Western Soy dans une série de belles scènes artistiques et chorégraphiques, comme celles terrifiantes Cirque du Soleil That way. Que Ang Lee ou Zhang Yimou ou une autre personne effrontée se soit inscrite pour marchander, d’accord. Tsui Hark, non. Peut-être que son pedigree de producteur l’a trahi, qui sait. La vérité est que ces sept épées confondent l’épopée avec des personnages saturés découpés à l’horizon, trois quarts d’heure de futilité et sa poésie apparemment tirée du triangle amoureux de Pasión de Gavilanes. Certaines des scènes d’action ont un air d’excitation, bien que moins Kurosawa et plus maladroit du Seigneur des Anneaux. Bref, très déçu, le film reste le borgne au pays des aveugles, mais je l’ai passé. Alors je me suis enfermé chez moi, buvant de la bière et du Pacheco à l’ancienne, et j’ai mis « La colère du tigre jaune » (Chang Cheh, 1972), une épopée féodale commandée par Confucius.
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