60 secondes
direction: Dominique Cena
distribuer: Angelina JolieChristopher EcclestonGiovanni RibisiNicholas CageRobert DuvallFrancis Fisher
Titre en VO : disparaître après 60 secondes
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2000 point final: 117 le sexe: action Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Scott Rosenberg la photographie: Paul Cameron la musique: Trevor Rabin
sommaire: Randall Memphis Rains (Nicholas Cage) est un légendaire voleur de voitures à la retraite. Troublé lorsque son frère Kip (Giovanni Ribisi) tente de l’imiter, il doit rassembler son ancien équipage – dont Sway (Angelina Jolie) et Otto (Robert Duvall) – Voler 50 voitures en trois jours. Un policier (Delroy Lindo) décide de le mettre en prison.
la revue
Ce que Walter Hill et Joel Silver ont fait depuis la fin des années 70 et tout au long des années 80, le producteur Jerry Bruckheimer le fait maintenant : (re)créer le mythe classique du cinéma macho pour une nouvelle génération de sensibilités visuelles. De son brillant générique d’ouverture à sa fin prévisible, 60 Seconds est un fantasme sur les hommes et les voitures, la sueur et l’huile, les muscles et le métal. Dont Angelina Jolie. Le principal avantage (et un problème) posé par les films de Bruckheimer (de « Two Rebel Cops » à « Doomsday », en passant par « Airlift » et ainsi de suite, jusqu’à celui-ci) est qu’à la fin, ils sont centenaires produits, ils ne se prennent pas du tout au sérieux, errent dans leur respect sans fuir aucun sujet et ne se soucient pas de raconter la même histoire d’innombrables fois. Mais, comme je l’ai dit, dans le péché, ils ont leur propre rédemption, à cause de l’histoire d’amour entre les hommes, les voitures et une étrange créature polysexuelle Angelina Jolie, seulement Bruckheimer et Dominic Cena (« Little Cult ») drame : « California ») . C’est-à-dire en s’appuyant sur l’esthétique pure et le cinéma. En musique, des bruits de moteurs et des effets spéciaux impossibles. Et, bien entendu, de l’humour. Un humour blanc, pas de gore, pas de (presque) mort. Pas de surprises, vraiment. Mais, encore une fois, pas de vanité et une grande conversation. A dix ans, ce serait un de mes films du moment, et Nicolas Cage, plus retenu que d’habitude, était un de mes héros à l’époque (« Mon Dieu, ils l’appelaient Memphis !). Malheureusement, beaucoup de voitures ont été explosé depuis que je suis enfant. Cela ne m’empêche pas de profiter, bien que d’une autre manière, de ce vieux mythe américain, visuellement réécrit pour le 21ème siècle. >> Pour l’humble fan d’action du film. Meilleur : Incroyable look visuel Pire: Angelina Jolie n’a rien fait de sale.
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