13 fantômes
direction: Steve Baker
distribuer: Tony Shalhoub, Embeth Davidtz, Matthew Lillard, Shannon Elizabeth, F. Murray Abraham
Titre en VO : Thir13en Fantôme
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2001 Date de sortie: 25-01-2002 point final: 91 le sexe: peur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Rob Wright, Neil Stevens, Richard D’Ovidio la photographie: Gale Tattersall la musique: Jean Fritzel
sommaire: Un domaine millionnaire excentrique (F. Murray Abraham) se compose d’une élégante maison d’acier et de verre. personne chanceuse? Les héritiers (Tony Shalhoub, Shannon Elizabeth et Alec Roberts) seront hantés par d’innombrables fantômes après s’être installés.
la revue
La suite inavouée, plus hautement consciente d’une autre extravagance qui dynamise l’héritage de William Castle (House on Ghost Hill), 13 Ghosts est un piège morbide concocté par le roman : une machine avide d’horreur humaine, une machine fournie par l’homme Le puits sans fond de la peur du peuple, de sa peur originelle, est à la fois terrifiante et sobre, des sales pulsions en chaîne que ces fils de Dieu abandonnés tentent de réprimer dans un univers gouverné par des princes déchus. Le bâtiment sur cette montagne enchantée, ce sanctuaire fou, avec le mal persistant dans ses murs, attendant avec sympathie de tirer la culpabilité et la douleur de l’habitant occasionnel d’intérêt, a été amélioré, vêtu de la plus belle tenue gothique, Seules les œuvres de Belzébuth sur Terre De l’acier et du verre érigés pour dissiper les peurs de ses habitants (mission : mettre deux titres différents avec des monstres, SA et jouets, aussi du château, cliquetis) en un Dans la création, on a toujours suspecté le vrai mal des bâtiments quand ils se sont déguisés en inventions littéraires de tant d’écrivains et de serviteurs mystérieux cachés. Table d’harmonie façon Kabbale, haut-parleur propulsé par les sueurs froides d’un locataire invétéré, la maison (aussi moderne et ésotérique que le Satan d’Edgard G. Ulmer) est utilisée sur fond d’horreur et de gore depuis que l’humour a pris le dessus Depuis le terrible désert , il a été marginalisé. Certes, il a succombé à ces arrière-goûts de pop-corn à la Halloween, mais au final, le durable (comme la haine, le mal) était un bâtiment effrayant qui rivalisait avec le célèbre manoir Velasco imaginé par Richard Mathison Comparable, sauf pour compléter l’idée de base de un de ces classiques fondamentaux que j’utilise de manière critique pour défendre : Poltergeist, le troisième volet de Gary Sherman, avec ses gratte-ciel de verre cannibales aux reflets sombres. >> Pour les phages ininflammables. Le meilleur : ça fait peur. Pire encore : on dirait qu’ils ont peur que ce soit effrayant.
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